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Une histoire piquante et rigolote qui tient en une phrase et qui s’avère parfaitement exploitée : un homme doit « prêter » sa femme pour une séance de photos. Le problème vient du fait que l’épouse est tellement sexy que la situation devient vite hors de contrôle… sous les yeux médusés du mari.
Femme d’âge mur, Asahi Mizuno est très belle. Ses atouts : cheveux courts, beau visage, formes harmonieuses et amples, poitrine généreuse… et un joli petit ventre rebondi. D’ailleurs, le graphiste n’a pas jugé utile de photoshoper la jaquette, c’est dire le respect qu’elle inspire.
Elle joue parfaitement la comédie ; sa façon de se tenir et de se cabrer sont en outre très affriolantes, tout comme la gêne feinte qu’elle ressent.
D’ailleurs, l’interprétation de tous les participants est irréprochable, du mari qui n’en croit ses yeux au modèle qui profite de la situation comme ce n’est pas permis, jusqu’au photographe et au producteur (un bel homme d’âge mûr) emportés par leur élan…
Le scénario assure une progression émoustillante de l’histoire puisque les séances photos auxquelles participe Asahi Mizuno sont de plus en plus osées.
Si les shooting occupent une bonne heure de film, cela n’empêche pas JUL-846 de livrer une dose suffisante de scènes X. On ne se sent vraiment pas floué et le film se termine même en apothéose avec une scène à trois.
RAS
