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FSDSS-365 propose un vrai scénario, plus élaboré qu’à l’accoutumée : Arina retourne avec son petit ami à la campagne où elle retrouve un ancien compagnon. Celui-ci est en réalité amoureux d’elle. Se sentant trahi, il décide de se venger. L’interprétation de l’acteur masculin est excellente et l’accompagnement musical de qualité lors des scènes dramatiques.
Le jeu d’Arina Hashimoto reflète la tragédie que vit son personnage… Ainsi, dans la première partie, son refus d’être séquestrée est évident, comme son aversion à tromper son compagnon actuel. On ne se trouve pas dans un film où le personnage finit par céder à ses désirs cachés. Par exemple, à un certain moment, Arina sombre au point qu’elle n’est plus capable de se faire à manger.
Les scènes X sont d’ailleurs nombreuses, variées et de qualité.
FSDSS-365 n’est pas pour autant un film dans lequel le viol est brutal et dégradant. C’est plus sournois que ça… Dans la deuxième partie, après avoir été contrainte et forcée, Arina Hashimoto devient addict à une drogue sexuelle. Dès lors, elle se déchaîne. Insatiable, elle se jette sur son assaillant pour qu’il apaise son désir irrationnel.
Le contraste permet au spectateur de goûter à deux attitudes diamétralement différentes (la fille abusée puis nymphomane). Dans le même temps, Arina Hashimoto démontre qu’elle est une véritable actrice.
La variété des tenues portées par Arina Hashimoto : robe longue, dessous sexy rouges et noirs, top blanc transparent sur un short gris…
RAS
