Attention : URE-106 = scénario tordu et surtout insane !
Hajime vit avec sa maman Sayuri. Un jour, Hajime découvre que sa mère et son oncle Suzuki entretiennent une liaison contre nature. Il n’en faut pas plus pour que Hajime développe une attirance sexuelle pour sa mère. Dès lors, le garçon imagine un stratagème machiavélique pour accomplir l’inconcevable…
Durant la première étape de la machination, Hajime entame une visioconférence où il invite sa mère en se faisant passer pour son oncle. Dans le tchat, Hajime demande à Sayuri de s’apprêter avec la tenue indécente qu’il lui a fait parvenir par envoi postal. Le colis comprend également différents ustensiles que la femme d’âge mûr va mettre à profit pour se masturber devant la caméra…
Au cours du deuxième stade, Hajime se fait passer pour un maître-chanteur. Pour éviter la diffusion des images captées sur internet, par téléphone et donc toujours incognito, il ordonne à sa mère de se rendre dans une chambre d’hôtel où l’attend un garçon aux yeux bandés. Elle doit lui faire l’amour alors qu’il est aveuglé. Lorsque Sayuri ouvre la porte, elle reconnaît immédiatement le jeune homme…
C’est peu dire que URE-106 adapte avec brio le Hentai sur lequel il est basé. Le résultat à l’écran est absolument bluffant et ce, grâce aux performances de Hayama Sayuri et Himori Hajime. La première se révèle touchante en maman attentionnée. Puis surprenante en coquine sans tabou. Pendant ce temps, Himori Hajime incarne un fiston qui n’a certes pas froid aux yeux, mais surtout sidérant, stupéfiant.
Quoi qu’il en soit, tous les deux livrent une prestation totalement décalée vis-à-vis de la thématique, au point que URE-106 réussit à être largement plus drôle que perturbant, puisque l’humour se nourrit justement de l’incongruité du spectacle proposé.
Le summum est atteint lorsque Sayuri découvre qu’elle prend plaisir à batifoler avec son rejeton. Croyant être anonyme puisque son garçon a les yeux bandés, elle réalise son fantasme, ni vu ni connu, la conscience tranquille.
L’attrait de URE-106 est de raconter son histoire effarante sans aucune gêne. L’immoralité du sujet est assumée, mais attention pour l’humour, pas pour vanter les mérites de l’inceste.



















