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| Intérêt: | ![]() |
Le studio Attackers puise dans la littérature populaire locale en s’inspirant des œuvres de Oniroku Dan, le plus important auteur SM nippon (Fleur Secrète est d’ailleurs une adaptation d’un de ses écrits). SSPD-168 démontre donc une certaine ambition…
Sasahara Yuri, très classe, est ainsi soumise, rabaissée et avilie dans différentes séquences où elle est prise dans une cellule avant de devoir frotter son entrejambe sur une corde tendue dotée de nœuds.
Le clou du spectacle est la dernière scène durant laquelle Yuri doit faire l’amour avec la jeune Yui Nagase sous les yeux de l’auteur et de son épouse. Les deux femmes, gênées, livrent une scène torride entre léchages et gode-ceinture.
À noter un rasage de pubis.
En dehors de la scène finale, on reste sur sa faim… Les scènes érotiques ne sont pas très originales.
Yui Nagase figure sur la jaquette, mais elle n’est finalement présente que dans une seule scène.
La réalisation n’est pas à la hauteur des ambitions.
Les dialogues sont nombreux. Sans sous-titres, le film ne présente finalement que peu d’intérêt.













