| Scènes: | ![]() |
| Scénario: | ![]() |
| Réalisation: | ![]() |
| Intérêt: | ![]() |
SORA-390 : Rin Miyazaki a hérité d’un drôle de fantasme… Elle est exhibitionniste. Un jour, elle décide de se jeter à l’eau. Tout d’abord en se baladant dans la cour du lycée sans culotte sous sa jupe, puis, soudain, en enlevant carrément tout.
Évidemment, elle ne passe pas inaperçue bien longtemps… Plusieurs camarades qui traînent par là interprètent mal le message ; ils confondent bêtement exhibitionnisme et invitation à copuler. Heureusement, le camarade de classe pour qui elle a le béguin surgit au bon moment et éloigne les malotrus en faisant monter la belle sur sa bicyclette…
Le début de SORA-390 est très mignon puisque Rin Miyazaki se défeuille dans la cour de l’école. Il y a quelque chose de fascinant à la voir se libérer en plein jour de tous ces tissus qui l’oppressent. Y compris métaphoriquement puisque, en fin de compte, c’est cet uniforme, symbole de l’oppression féminine et de son assujettissement au patriarcat dont elle se dépare… Bon, pas sûr que SORA-390 pousse l’analyse vraiment aussi loin tout de même…
Quoi qu’il en soit, on en pince sévère pour la jolie Rin dont le personnage est particulièrement attachant. Frêle et timide, jolie comme un cœur, Rin Miyazaki est adorable dans son rôle improbable. On a envie de l’aider mais, malheureusement, c’est un hardeur nippon qui va se charger de la corvée… Crotte !
Il n’y a que deux scènes de sexe, visiblement présentes uniquement pour atteindre le quota obligatoire… Le sujet du film est ailleurs… Vous êtes prévenu(e)s.
















