Kawakita Saika ne perd pas de temps et débute sa carrière dans le JAV dès 18/19 ans en 2018. Aujourd’hui, l’idole jouit d’une renommée certaine et met son corps long et mince au service de SONE-228.
Comme beaucoup de ses concitoyens logés dans les mégalopoles nippones, Saika se rend à son travail d’enseignante en utilisant les transports en commun. Un jour, un usager profite de la promiscuité de la rame de métro pour se frotter contre la jeune femme en toute désinvolture. Une fille de bonne famille lui aurait promptement administré une gifle bien sentie. Une féministe brandirait un couteau pour châtier le malotru là où ça fait mal, à l’instar de Camille Keaton dans I Spit on your Grave. Mais Saika n’a que faire de la bienséance et n’est pas revancharde non plus. Dans un premier temps, elle décide de se laisse faire. Le lendemain, volontaire, elle prend les choses en main et s’assied à côté du rustre afin de l’encourager à reprendre là où s’il était arrêté…
La suite va évidemment se révéler explosive. L’un de ses élèves, témoin de ces dépravations, profite de l’occasion pour faire du chantage. Dès lors, la jeune femme doit faire l’amour avec le garçon à la dérobée dans les couloirs de son lycée. Plus tard, un vieux monsieur invite la femme libérée dans un love hotel pour plus de confort. Ce qui nous permettra d’apprécier la plastique irréprochable de la belle dans toute sa splendeur.
C’est effectivement peu dire que Kawakita Saika est sublime. Certains lui trouveront peut-être un air de Yua Mikami, star parmi les stars, qui a récemment décidé de quitter le milieu qu’elle a vaillamment honoré durant de nombreuses années. Pour autant, les attitudes empruntées arborées par la jeune femme ajoutent largement à son charme et lui confèrent une touche unique.
En particulier dans la rame de l’équivalent japonais de notre bien connu TER. La réalisation de Nikuson ne perd rien de l’action en optant pour un split screen que n’aurait pas renié Brian de Palma, permettant de filmer en même temps les mains baladeuses et le visage empourpré de la voyageuse. Les angles, pas toujours évidents, adoptés par la caméra parviennent même à capter les mines déconfites des usagers spectateurs et voyeurs.
Si le sujet n’est que prétexte, SONE-228 l’exploite intelligemment afin de livrer un JAV plus ou moins réaliste. Dans tous les cas, la présence de Kawakita Saika finira de remporter les suffrages.















