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La manière utilisée par Karen Yuzuriha pour allumer son professeur en lui demandant un selfie tout en frottant son bras contre sa poitrine est rigolote. L’attitude entreprenante, naturelle et coquine de Karen est irrésistible.
Il est possible de se rendre compte à quel point Karen est petite quand elle se tient debout à côté de ses partenaires masculins.
La première scène de copulation exploite astucieusement le fétichisme de l’uniforme de lycéenne.
Nue et à genoux devant son partenaire dans la salle de bain, Karen dévoile la finesse et l’élégance de son corps… Sacrée chute de rein !
Après l’introduction, les scènes se sexe nombreuses s’enchaînent sans transition.
Et lorsqu’il y a transition, il s’agit de scènes mignonnes durant lesquelles le professeur essaye d’attraper les seins de Karen à l’abri des regards derrière les tables d’une salle de classe. La récompense est une branlette espagnole magistrale eu égard à la fermeté de la poitrine de Karen.
On reste dans l’imagerie du lycée jusqu’à la dernière scène où Karen enfile un maillot de bain… Le réalisme n’est cependant pas de mise car le bout de tissu est probablement trop transparent pour être autorisé à l’école.
En levrette, Karen est incroyable dans l’avant-dernière scène. Enduit de lubrifiant, son corps luisant est très sexy.
En dehors de la dernière scène, la réalisation, trop concentrée sur l’action ou le visage de Karen, ne met pas suffisamment en valeur les formes de son corps.
