Dans NSFS-308, l’entreprise dans laquelle travaille Yuuna (Mitake Yuuna) a pris la mauvaise habitude de contracter des dettes auprès de gens peu recommandables. C’est un problème, en particulier lorsque le moment est venu de payer ses échéances et que les caisses s’avèrent vides ! Les yakuzas n’ont alors pas d’autre solution que de faire irruption dans les locaux de la start-up et faire entendre leurs exigences.
Lorsque les voyous découvrent un couple parmi les employés, ils décident de mettre à profit cette singularité pour obtenir plus rapidement le remboursement de leur créance. Ainsi, pendant que monsieur part en quête de monnaie sonnante et trébuchante, le corps de madame se voit mis à contribution pour rembourser les intérêts…
Une lutte psychologique s’annonce alors, doublée d’une course contre la montre. NSFS-308 se révèle alors un JAV tendu, et pas seulement du slip. Car la durée du huis clos imposé dans les locaux de l’entreprise dépend du temps utile à l’époux pour récolter les fonds exigés. Chaque minute qui passe est une minute de supplice en plus pour la directrice qui va devoir faire patienter les yakuzas, venus en nombre, de surcroît.
La directrice, c’est Mitake Yuuna. Une créature superbe, qui apprécie les rôles physiques. Ainsi, on a pu la voir en détenue en cavale dans SORA-410, tandis qu’elle enseignait le judo auprès de personnages très peu reconnaissants dans NSFS-119.
Pour NSFS-308, l’idole livre des séquences X classiques, mais sa beauté les sublime immanquablement. L’action, riche, est superbement rythmée par Tomitake Taro. Au point que l’on se dit qu’un jour, il faudra peut-être aussi étudier le montage de ces NSFS dont l’alternance de scènes de sexe et de construction dramatique rythme savamment l’histoire…
