C’est avec plaisir que l’on retrouve Natsukawa Ayumi dans un film de Tomitake Taro après l’agréable NSFS-232 où elle s’amusait à changer de partenaires sexuels sous la tente. Dans NSFS-300, elle intègre la série des sages épouses s’adonnant aux photos de charme.
L’histoire est bien connue. Précisons néanmoins que le patron est ici incarné par Toru Ozawa et que Tomohiro Abe hérite du rôle de photographe, ce qui nous change. La grande innovation de NSFS-300 est de laisser participer le mari aux séances photos, du moins au départ.
Cette originalité s’avère cependant peu exploitée. Et très vite, l’époux, qui n’en menait pas large sous le feu des projecteurs, doit quitter les lieux afin de s’occuper d’une tâche urgente à réaliser pour un client. Le bienheureux Toru Ozawa se voit alors obligé de le remplacer, à la volée, oserait-on dire…
Évidemment, papy Toru va se montrer bien plus entreprenant que monsieur l’officiel. Au point que madame préférera dorénavant continuer les séances photos sans son époux… Et, si l’occasion se présente, avec ou sans photographe ! Pendant ce temps, le mari se morfond sur le canapé du salon ou se distingue de manière absurde en s’échinant au travail.
Pour autant, Natsukawa Ayumi n’incarne pas une simple marie-couche-toi-là. C’est juste que l’ennui s’était installé dans son lit conjugal.
Quoi qu’il en soit, difficile de passer sous silence la beauté de Natsukawa Ayumi. Sans pudeur, l’idole se dévoile à nos yeux dans toute sa splendeur, de manière bien plus généreuse encore quand dans NSFS-232. Cerise sur le gâteau, les ébats avec Toru Ozawa et Abe Tomohiro sont brillamment mis en scène par Tomitake Taro. En particulier la séquence finale où la belle porte une tenue adorablement coquine.

















