NSFS-299 nous permet de faire la connaissance d’un nouveau visage du JAV : Fujino Tsukasa. Également connue sous les pseudonymes de Yagami Karen et de Hanashiro Ren, l’idole éveille immédiatement l’intérêt grâce à un visage exquis et une morphologie agréable. Mais également en raison d’un jeu d’actrice franchement séduisant.
Dans NSFS-299, Fujino Tsukasa incarne une épouse irritée par le fait que son beau-père emménage dans l’immeuble. En effet, la promiscuité et le manque de discrétion du bonhomme donnent lieu à des situations embarrassantes. Voyez-vous, il s’avère que beau-papa est un chaud lapin. Or, ses parties de jambes en l’air qui durent toute la nuit ont le chic d’agacer sa belle-fille.
Mais pas seulement à cause du bruit… En réalité, la vie sexuelle de Fujino Tsukasa n’a rien d’enthousiasmant. Selon toute vraisemblance, le fiston n’a pas hérité du savoir-faire de son père. Au point que, lors des longues journées passées seule à la maison pendant que Monsieur fait carrière, la jeune femme s’accommode de jouets sexuels pour toucher du doigt le septième ciel…
Cette misère sexuelle est la source de son amertume. Au point que sa mauvaise humeur l’incite à se plaindre égoïstement auprès de beau-papa des désagréments générés par ses frasques érotiques. Surprise ! Le Don Juan n’apprécie que modérément les reproches de cette empêcheuse de lutiner en rond. C’est pourquoi il décide de donner une leçon à cette bourgeoise coincée et mauvaise coucheuse…
À l’occasion de NSFS-299, Fujino Tsukasa hérite certes d’un rôle ingrat. Difficile néanmoins de ne pas s’avouer charmé par ses expressions exquises. L’idole s’avère constamment belle, désirable et touchante, malgré le sujet qui joue sur le fantasme du viol, plus ou moins consenti. Une bonne partie de la réussite est à attribuer au réalisateur Tomitake Taro qui sait, à toute occasion, parfaitement magnifier et érotiser les corps, tout en retirant l’aspect sordide de ces séquences. Seule subsiste alors une fable érotique et polissonne.



















