Dans NSFS-280, un jeune couple prend sous sous son aile un SDF en lui accordant un travail dans leur restaurant. Et une chambre dans leur maison…. Évidemment, le va-nu-pieds va se révéler moins innocent qu’il n’y paraît, allant même jusqu’à réclamer un droit de cuissage sur l’épouse.
Dès le début de l’histoire, le misérable s’affiche comme une belle ordure. Une fois seul dans l’appartement de ses bons samaritains, il se met en quête de l’armoire contenant les petites culottes d’Azusa. Après s’être enivré du parfum de la belle, le malotru se rend chez une femme pour la violer… Tandis qu’un bébé braille dans son berceau à côté du lit.
Assez rapidement, Azusa devine que son hôte est un obsédé sexuel. Et pas seulement à cause de l’esclandre provoqué par la jeune femme violée en découvrant son violeur servir les convives. En réalité, lorsque Azusa surprend le SDF dans les toilettes en train de se masturber avec sa culotte, elle sait déjà qu’elle est au centre de ses pensées lubriques.
Le bonhomme connaît également certains des secrets de la jeune femme. Comme le fait que l’impuissance de son mari la frustre…
Subtilement, Nagae explore la libido de ce couple adultérin étrange, formé par une épouse frustrée et un obsédé. Les actes sexuels auront tous un petit quelque chose d’hystérique, car désespéré, puisque non naturel. En effet, l’amour ne guide pas leurs étreintes, seul compte l’apaisement d’un besoin naturel.
Cela n’empêche pas les ébats, au cœur de NSFS-280, de s’avérer superbes à l’image. Et c’est dû à la magnifique Misaki Azusa. Tout comme la maîtrise de Nagae, qui capte la beauté de son corps en multipliant les angles de vue inédits.

















