Avec NSFS-271, la série des femmes au foyer soumises aux photos de charme trouve un nouvel élément explosif avec la présence de la superbe Ariga Minaho.
Toru Ozawa joue le patron faisant pression sur son employé, mari de Minaho (Ariga Minaho). Tandis que Tomohiro Abe incarne à nouveau le photographe en manque de femmes dénudées. Simples matières premières qui lui permettront de démontrer l’excellence de son art.
Peut-être est-ce parce que la série commence à se faire ancienne et à se répéter que Toru Ozawa prend moins de gants pour soumettre l’époux… Quoi qu’il en soit, le boss passe à l’action dès la première scène.
Cette fougue inhabituelle surprend un peu dans la série, habituée à faire lentement monter la pression. Néanmoins une application soignée dans les prises de vue rassure immédiatement sur la qualité de l’ensemble. Comme ces plans à la fois dramatiques et sexy dans lesquels figurent, dans le même cadre mais sur des plans différents, le mari qui fait part de son désaccord à son patron dans le fond de la pièce, ainsi que les fesses dénudées de Ariga Minaho, qu’elle a d’ailleurs fort belles.
Si NSFS-271 est peut-être l’un des meilleurs de la série, ce n’est pas uniquement parce que la jeune femme se révèle exquise dès son apparition. En effet, Minaho n’est pas seulement une belle plante. L’actrice incarne, en outre, formidablement une jeune épouse troublée. Elle s’ennuie ferme à la maison, son rôle consistant essentiellement à être le faire-valoir de son époux. Curieuse et intriguée, Minaho voit probablement en cette proposition indécente l’occasion de pimenter sa vie morose de femme au foyer.
Ainsi, personne ne sera surpris de voir ses réticences et ses jérémiades bien vite balayées par la volonté de s’extirper de sa condition.
