Dans NSFS-235, Hitomi (Honda Hitomi) et son mari décident de passer leur lune de miel dans une auberge. Malheureusement, leur week-end en amoureux dégénère à la suite d’une mauvaise rencontre. En effet, alors qu’ils sont en train de prendre un bain, les deux tourtereaux sont surpris par Yoshimura (Fumitaka Yoshimura) et ses acolytes. Le mari, courageux, parvient cependant à préserver l’honneur de son épouse, il administre à l’inopportun un coup de poing bien placé. Mais celui-ci ne se laisse pas abattre. Et le soir même, accompagné de ses larrons, il profite de l’absence de l’époux pour rendre visite à la malheureuse…
C’est le top départ d’une nuit de rapports sexuels forcés. Et, cette fois-ci, le mari ne pourra rien y faire, n’ayant pas l’effet de surprise de son côté. Ultime disgrâce, il devra même assister aux ébats, ligoté.
Eu égard au sujet, on pouvait s’attendre à un JAV plutôt violent. Or, NSFS-235 ne l’est finalement pas tant que ça. Même si l’emploi de la musique en début de film laisse présager autre chose. D’ailleurs, par le passé, Tomitake Taro a su démontrer qu’il était capable de proposer des JAV plus sordides. Ne serait-ce qu’avec des films comme NSFS-168, par exemple.
Mais ici, les situations décrites cherchent plus à émoustiller qu’à choquer, à ce titre la séquence durant laquelle le couple se retrouve nu face à des inconnus est joliment scabreuse. Et la caméra de Tomitake Taro sait toujours se placer là où il faut pour magnifier le corps de Honda Hitomi.
Ainsi, Malgré la noirceur du contexte, réalisateur et idole s’arrangent pour livrer des images torrides. Et Honda Hitomi sait se cambrer comme il se doit. Affublée d’un joli petit bâillon blanc, la sensualité qu’elle dégage est encore décuplée.
En bonus, NSFS-235 propose quelques invitations à réfléchir à la violence… Ainsi, le film s’ouvre sur une scène où l’on découvre le malheureux mari s’entraîner à la boxe à l’aide d’un punching-ball. Puis, le film commence avec un flash-back nous permettant de comprendre l’intérêt du mari pour le sport de combat… Un petit subterfuge qui permet à NSFS-235, non seulement de bénéficier d’une leçon de morale, mais aussi d’une fin véritable.
Un film abouti, en somme, peut-être l’un des meilleurs films de Tomitake Taro.



















