Dans NSFS-208, Urara (Kanon Urara) découvre que les relations entre son mari et son beau-père Yoshimura (Fumitaka Yoshimura) ne se trouvent pas aussi idylliques que prévu. La situation empire même lorsque beau-papa surprend sa belle-fille en train de se masturber dans le salon. Après avoir d’abord grondé la fille et exigé qu’elle nettoie les saletés laissées sur le canapé, il décide de profiter de la situation…
S’ensuivent des séquences X peu respectueuses envers la jeune femme qui n’a visiblement rien à dire puisqu’elle a fauté. Les scènes sont donc plutôt rudes. Yoshimura fait preuve de peu de sollicitude et n’hésite pas à humilier son souffre-douleur.
Ainsi, quelques scènes développent des idées incongrues comme l’arrivée d’un livreur qui doit assister aux ébats sur les ordres du beau-père.
Dommage qu’il soit si difficile de saisir les motivations réelles qui animent les protagonistes. Par ailleurs, la barrière de la langue empêche de comprendre l’antagonisme entre le père et le fils. Ainsi, la non-compréhension du japonais handicape fortement le métrage. Certes, l’originalité n’est probablement pas l’une des qualités essentielles de NSFS-208, mais le conflit nourrit l’intrigue et les conséquences des actes des protagonistes. D’autant plus que le JAV s’avère truffé de dialogues.
Le spectateur qui ne comprend pas le japonais saisira au moins une chose : à un moment, au sens figuré bien sûr, il est vraiment temps pour les fistons de tuer le père. En particulier lorsqu’il a été forgé dans le même bois que le personnage interprété par Fumitaka Yoshimura.


















