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C’est toujours avec dévotion que Misaki s’est occupée de sa belle-mère. D’ailleurs, lorsque l’épouse de son frère s’attelait à la tâche, Abe la regardait de manière attendrie, avec un brin d’admiration… Mais aussi avec envie, car Misaki est très belle.
Le jour de la cérémonie mortuaire de sa mère, Abe profite que Misaki se soit assoupie après avoir trop bu pour provoquer quelque chose. Il ne sait pas encore quoi mais cela sera le début d’une histoire d’amour extra-conjugale qui se terminera malheureusement de manière tragique.
Dans NSFS-147, on retrouve la patte du réalisateur Nagao, à savoir des personnages aux personnalités complexes s’abîmant dans une relation impossible. On distingue aussi le soin indéniable pour la production et tout ce qui va autour : acteurs excellents, dialogues nombreux, scénario élaboré, lieux de tournage différents…
Il n’y a que deux scènes de sexe dans NSFS-147 mais attention, elles sont mémorables, sauvages, comme si les deux protagonistes savaient, à chaque fois qu’ils faisaient l’amour que c’était peut-être la dernière.
Malheureusement, les interactions entre les personnages sont nombreuses, tout comme les dialogues. Des sous-titres ou la compréhension de la langue seront nécessaires, d’autant plus que l’on devine que les réflexions et échanges entre les acteurs sont loin d’êtres anodines.
RAS
