Inspiré d’un manga en dix volumes, NIMA-040 adapte les deux premiers.
L’histoire tourne autour de Yuma (Sano Yuma) et de Ryoma (Yuki Yudzuru), deux voisins qui vont avoir une aventure peu commune. Pourquoi ? Parce que Yuma est la mère de la camarade de classe de Ryoma… autrement dit, Ryoma fréquente encore le primaire ! Comme il s’agit d’un enfant, Yuma ne voit pas où est le mal à prendre un bain toute nue avec le garçon. Mais voilà que l’impensable va se produire.
Pour jouer l’enfant, Yuki Yudzuru, l’éternel étudiant, doit faire un effort pour paraître encore plus jeune, une prouesse remarquable qu’il n’arrive pas à couronner de succès, même si le bricolage numérique de l’improbable affiche de NIMA-040 tente de faire croire l’inverse…
Pour autant, NIMA-040 sait se montrer plutôt marrant avec cette mère candide qui va développer une obsession pour le gamin d’à côté, sa propre fille qui surprend les deux égarés et qui n’en croit pas ses yeux, le mari crédule qui ne se doute de rien…
En ce qui concerne la réussite de l’entreprise, les louanges doivent revenir à Sano Yuma qui parvient à parfaitement dépeindre cet instant déconcertant lorsque les émotions l’emportent sur la raison. Grâce aux nombreuses voix-off, l’égérie décrit ce qu’elle ressent, des remarques qui contrastent avec les sornettes qu’elle chante au garçon pour l’amener à faire ce qu’elle désire. Car elle, contrairement au garçon qui se rend chez elle pour sagement faire ses devoirs, a d’autres idées en tête.
Dans ce contexte totalement immoral, les scènes de sexe passent largement au second plan. Pourtant, très nombreuses, elles valent le coup d’œil, en particulier grâce à la plastique impeccable de l’idole.













