Exit Ono Rikka. Ishihara Nozomi occupe désormais seule l’affiche du troisième opus de l’adaptation du manga Karami Zakari. MIMK-171 emboîte ainsi le pas aux excellents MIMK-136 et MIMK-132, tous deux déjà réalisés par Kitorune Kawaguchi.
C’est la fin de l’année scolaire et Nozomi (Ishihara Nozomi) se retrouve seule. Après toutes ces aventures torrides, la jolie blonde décide de calmer un peu le jeu en jetant son dévolu sur un camarade de classe, et un seul. Nozomi découvre alors qu’elle n’a pas choisi la facilité… En effet, le garçon attire les lycéennes et rivales comme des mouches. En attendant de trouver la percée qui lui permettra d’atteindre son objectif, Nozomi passe le temps avec un monsieur plus âgé qui la dévergonde dans un bar.
On ne parle pas aux inconnus, jamais, parce qu’on ne sait pas de quoi ils sont capables… Une leçon que Nozomi va devoir apprendre à ses dépens, certes, mais aussi pour notre plus grand plaisir.
Car Ishihara Nozomi est une bombe qui fait désormais partie du carré VIP des idoles du JAV. Actrice hors pair, hardeuse émérite, corps exquis, charme fou. Un quarté gagnant qui ne connaît aucun handicap.
Dans MIMK-171, l’idole brille de mille feux. Que ce soit au cœur d’étreintes sensuelles ou lors d’ébats où la jeune fille est un peu plus malmenée, à l’instar d’une séquence à quatre.
Toutefois, en évinçant de l’équation la sublime Ono Rikka, ce troisième opus perd néanmoins un argument de poids. Dès lors, MIMK-171 se révèle nettement moins croustillant que les précédents opus. À ce titre, le marketing de MIMI-171 s’avère profondément fallacieux en proposant moult photos laissant espérer une histoire plutôt complexe. Il n’en est rien, le scénario se concentre sur les cinq premières minutes. Seule reste alors la performance de Ishihara Nozomi…
