Avec un taux de suicide d’environ 12 pour 100 000, le Japon possède l’un des plus mauvais chiffres des pays dits civilisés. Seuls la Belgique et les USA font pire. Le héros de MIMK-116 est malheureusement concerné. Au bord du gouffre, il s’apprête à se passer la corde autour du coup.
C’est le moment que choisissent deux jeunes femmes pour sonner à la porte de notre héros. Toutes les deux font partie d’une secte et sont en quête de nouveaux membres…
Leurs arguments sont de taille. A minima aussi larges que leurs poitrines et leurs hanches.
Après avoir goûté aux délices proposés par ses bienfaitrices, le garçon décide de prendre la décision qui, à ce stade, semble la plus raisonnable qui soit : rejoindre la communauté.
Malgré un prétexte de départ aussi intrigant, MIMK-116 déçoit. En effet, le JAV signé Mishima Rokusaburo se contente dès lors de délivrer trois ou quatre séquences pornographiques.
Certes, les dialogues nombreux laissent à penser que des sujets sérieux sont abordés, mais la barrière de la langue ne permet pas d’en saisir le sens. MIMK-116 n’exploite même pas la thématique et ne nous laisse qu’entrapercevoir les orgies pratiquées par les adeptes de cette étrange secte.
Heureusement, bien que les séquences X soient terriblement classiques, elle se démarquent néanmoins grâce aux plastiques impeccables de Niimura Akari et Yayoi Mizuki. Leur charmante petite frimousse, les courbes parfaites de leur silhouette ainsi que leurs incessantes minauderies font largement le job.


















