Dans MIDV-871, la vie de Rikka (Ono Rikka) s’apparente au bonheur depuis que sa mère et elle ont emménagé chez Goro. Malheureusement, la félicité va s’avérer de courte durée… Maman trépasse inexplicablement et la jeune fille se retrouve seule avec son beau-père. En outre, sitôt la rombière enterrée, Goro rejoint la jeune fille sous sa couche et lui fait comprendre ce qu’il attend d’elle en échange de sa protection. Rikka découvre alors que le vieux monsieur a empoisonné sa mère parce qu’il n’a que faire d’une quarantenaire. Ce qui l’intéresse, c’est l’insouciante jeunesse de Rikka…
De toute évidence, Mamezawa Mametarou a opéré un choix judicieux en associant Goro et Ono Rikka. Goro a tout du vieux beau-père détestable. Il n’a pas besoin de pousser son talent d’acteur dans ses derniers retranchements pour exceller dans le domaine. Il en est de même pour la jolie Ono Rikka qui a déjà démontré dans MIMK-132 et MIMK-136 ses capacités à jouer les saintes-nitouches découvrant l’univers scabreux du sexe. Et en particulier les forces de coercition qui peuvent, parfois, le déterminer.
C’est malheureusement sur ce point que MIDV-871 déçoit… Certes, parfois, le réalisateur se permet quelques secondes intéressantes qui brisent la monotonies des scènes X courantes pour développer tel ou tel aspect des personnages… Ainsi, Ono Rikka parle avec sa mère défunte en s’adressant à son portrait. Plus tard, Goro rature le visage de son épouse décédée des photos de famille pour ne conserver que Rikka… Malheureusement, ces éléments se manifestent gratuitement et ne permettent pas de justifier le surprenant dénouement.
En l’état, MIDV-871 ressemble à une succession de séquences X classiques qui se distinguent principalement grâce au corps juvénile de Ono Rikka. L’dole s’avère d’ailleurs joliment mise en valeur par la caméra de Mamezawa Mametarou. Surtout lorsqu’elle décide de jouer le jeu de Goro pour finalement prendre sa destinée en main.














