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Voilà un film au scénario bien toqué ! Abandonné par sa femme et sans emploi, le père d’Ichika n’a pas d’autre solution que de louer sa fille à des pervers sexuels. Comme elle n’est pas bien grande, son père la promène dans une valise qu’il ouvre devant les yeux des clients. Droguée et comateuse, Ichika ne se doute pas de ce qui se passe…
Le réalisateur assume son scénario déviant : Ichika est petite, sans poitrine et au sexe rasé afin de bien appuyer sur son jeune âge.
Les positions sexuelles exploitent le contexte. Par exemple, après une éjaculation buccale, le sperme s’écoule mollement de la bouche entrouverte d’Ichika.
À un moment, on frôle la nécrophilie… Ichika se réveille et le client lui administre un peu trop de drogue… Ichika est-elle morte ? Quoi qu’il en soit, cela n’empêche pas l’individu de terminer sa besogne.
L’amour du travail bien fait se trouve dans les détails : les jambes pâles et poilues du premier client tranchent sur le corps d’ingénue d’Ichika ; la forme complète le fond.
Le film n’est jamais rébarbatif. Chaque client utilise Ichika de manière différente tout en l’habillant également à sa guise.
Ichika, quant à elle est superbe. Sa peau immaculée se prête bien à ce rôle de poupée sexuelle. Une irrésistible sensualité se dégage de son corps, même immobile. Et elle est excellente lorsqu’elle se réveille et découvre terrorisée ce qui lui arrive…
Limité en nombre de mots, impossible de dévoiler toutes les qualités de ce film.
