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Alice et une amie à elle sont en excursion. Alors qu’elles se promènent dans un parc, elles sont abordées par deux hommes qui les draguent ouvertement. Toutes les deux se prennent au jeu, au point d’accepter de continuer leur discussion au domicile de l’un des garçons. Là, l’atmosphère se charge d’un érotisme complice entre l’amie qui accueille avec espièglerie les avances d’un des garçons. Alice, elle, est plus timorée, et mariée de surcroît. Elle s’enferme sur elle-même. Son compagnon continue cependant de s’intéresser à elle. Alors qu’à côté d’elle, son amie profite de plus en plus de la situation, Alice est également attirée par l’idée de sortir de sa timidité et de ses principes moraux. Grâce à l’alcool et un puissant aphrodisiaque, Alice décolle finalement et se retrouve assaillie par un appétit sexuel dont elle ne s’imaginait pas capable… Une transformation qui ne sera pas que spirituelle…
D’abord timide, Arisu Otsu se déchaîne complètement lors de la dernière scène où elle s’accapare carrément les deux garçons. Elle se laisse alors prendre dans toutes les positions imaginables : en levrette, debout devant le miroir… Le Kamasutra est révisé sous nos yeux et quand ses deux partenaires ne lui suffisent plus, elle n’hésite pas à s’aider d’un accessoire.
Le jeu de l’actrice est excellent, que cela soit dans son rôle de Jekyll ou de Hyde. Durant les scènes de sexe, elle en fait beaucoup, renchérit trop même peut-être, transformant les ébats en bouffonnerie.
Le film aurait pu se terminer en apothéose avec une scène réunissant les quatre protagonistes, mais il semblerait que la production était à court de pellicule… Le film s’arrête juste au moment où l’amie décide de prendre part au trio.
