Dans la série des épouses soumises à des photos de charme, JUR-040 propose un nouvel épisode de haute qualité, grâce au jeu particulièrement habité de toute la clique habituelle. Le photographe de mauvaise foi, le mari dépité, le modèle masculin terriblement sexy et, bien sûr, au centre de toutes les attentions, la très jolie Shinohara Iyo. Mais, pour les besoins de la série, la beauté est moins importante que les expressions contradictoires, passant de l’embarras à l’enthousiasme de l’idole.
JUR-040 propose une petite innovation dès lors que les deux modèles débutent une liaison tendre et sentimentale. Une situation que le photographe, sans scrupule, va exploiter pour obliger la jeune femme à se mettre à sa disposition. Une variation qui ne casse pas trois pattes à un canard, mais l’important reste la prestation de Shinohara Iyo, irréprochable et en tout point superbe.
Dans ce périple, le mari éternellement floué fait peine à voir. Lui qui se contentait de prendre de sages photos de sa femme habillée, se montrera même compréhensif en s’excusant d’avoir été égoïste lorsqu’il boudait la nouvelle carrière de son épouse. Mais c’est trop tard. Déjà sa bourgeoise s’est libérée de ses carcans et a rejoint les rangs des femmes libérées… Takeshi Oshima l’avait pourtant prévenu : “Ton épouse, ce n’est pas un objet qui t’appartient.”














