Kimura Hiroyuki propose d’apporter une nouvelle contribution à la série des épouses soumises à des photos de charme. JUQ-943 met cette fois-ci en scène la superbe Meguri, en activité dans le JAV depuis 2009.
L’idole incarne un ancien modèle de photos sexy désormais rangé et épouse d’un employé de bureau. Pour leur cinq ans de mariage, Meguri souhaite néanmoins raviver des souvenirs passés. Elle demande alors à son époux l’autorisation de s’exhiber devant la caméra d’un professionnel. En évoquant le sujet avec son employeur incarné par l’excellent Takeshi Oshima, le bonhomme va décrocher la timbale du mari le plus stupide du mois. Coquin notoire, le patron ne se fait pas prier pour organiser une séance photos avec, derrière l’appareil, un proche qu’il a mis dans la confidence… Car, pour le parton, l’objectif reste naturellement de convaincre Meguri de ne pas se contenter de se déshabiller. Et, lorsque le mari se dégonfle au moment de rejoindre son épouse sous les projecteurs, le personnage de Takeshima Oshima se révèle être le seul à pouvoir assurer ce rôle.
Nulle surprise à attendre de JUQ-943. D’ailleurs, pourquoi changer une recette qui donne de si bons résultats?
Devant la caméra de Kimura Hiroyuki, qui semble dédier sa carrière à cette série, Meguri se livre sans pudeur et offre avec Takeshi Oshima une prestation diaboliquement efficace. Difficile de rester de marbre en assistant à l’itinéraire de Meguri, dominant les unes après les autres chacune de ses inhibitions pour atteindre in fine un sacre bien mérité.
Toutefois, même si la quasi-totalité du JAV se consacre à dévoiler le corps et les exploits sexuels de la belle, la qualité de la réalisation de Kimura Hiroyuki ne doit pas passer sous silence. En effet, les scènes dialoguées, ainsi que la crise subie par le malheureux mari, se révèlent superbement exposées lors de séquences en outre joliment mises en scène. Ainsi, alors que les tons bleus et sombres symbolisent les ténèbres dans lesquels le garçon s’enfonce, Meguri, elle, rayonne dans la lumière. Tout simplement parce qu’elle ne craint pas de s’exposer, elle. Preuve qu’un excès de pudeur peut s’avérer un frein à l’épanouissement.















