Bâtir toute une série de films pornos sur la technique de la copulation de Toru Ozawa, comme c’est le cas avec JUQ-808, aurait pu s’avérer casse-gueule. Finalement, le principe tient plutôt bien la route, comme en témoigne le nombre de JAV sortis sur cette thématique, toujours la même :
- Un patron en pince pour sa secrétaire.
- Celle-ci lui annonce son mariage avec l’un de ses collègues.
- Action, réaction : le patron se décide à dévoiler ses intentions.
- Comme les femmes sont vénales, Ozawa remporte toujours la mise.
La série que l’on va, par pudeur, traduire par “Secrétaire mariée fait l’amour dans le bureau du directeur”, s’avère avant tout un faire-valoir pour la légende masculine du JAV Toru Ozawa. En effet, à chaque fois, Ozawa peut briller grâce à quelques scènes durant lesquelles ses talents d’acteur se voient mises à l’épreuve. Par exemple, pour convaincre sa jolie secrétaire de faire le seul choix qui s’impose…
Par ailleurs, comme l’assistante tombe éperdument amoureuse de son patron plein aux as, les scènes X peuvent prendre des aspects romantiques et sensuels, ce qui est toujours appréciable.
Aussi illustre que soit Toru Ozawa, un JAV vaut d’abord pour ses actrices. Or, JUQ-808 peut s’appuyer sur le joli minois de Mutou Ayaka pour être assuré de ne pas décevoir. L’idole avait d’ailleurs déjà touché les sommets du porno japonais à l’occasion de NSFS-160, également mis en scène par Nagae.
Qui dit Nagae, dit obligatoirement ambitions artistiques et il est vrai que JUQ-808 se montre visuellement somptueux. L’intrigue semble également réserver quelques surprises mais il va s’avérer difficile d’appréhender tous les tenants et les aboutissants sans bonne maîtrise de la langue de Sonny Chiba.
Mais avec Toru Ozawa, Mutou Ayaka forme un duo attachant et sexy. C’est le principal.
















