| Scènes: | ![]() |
| Scénario: | ![]() |
| Réalisation: | ![]() |
| Intérêt: | ![]() |
Un étudiant qui ne demande qu’à être déniaisé découvre que sa nouvelle voisine propose des massages à domicile… Le développement bénéficie d’une longue et agréable scène d’ouverture de près d’une demi-heure composée de nombreux dialogues.
Nao Jinguuji excelle dans son jeu dramatique, que ce soit lors des scènes de dialogues ou des scènes de sexe où elle incarne une femme littéralement insatiable.
Certains considéreront probablement le corps de Nao Jinguuji comme l’essence même de la perfection.
On a également le plaisir d’admirer Nao dans des robes près du corps. Elle ne porte pas de soutien gorge et parfois, quand elle sort de la douche, sa robe humide dans le dos est éminemment émoustillante.
Ses jambes sont mises en valeur lors d’un moment de bravoure malheureusement trop court.
Une position sexuelle peu commune est longuement expérimentée à la fin de la première scène durant laquelle Nao baise littéralement son partenaire. Dès lors, elle sera carrément entreprenante, comme le montre ce passage où elle l’enjoint ardemment à lui administrer une levrette.
JUL-859, c’est quatre scènes magistrales aux positions riches et variées dans des lieux qui savent également alterner (lit, sofa, salon luxueux…) Les intérieurs sont sobres mais réalistes car riches en objets et décors divers. Enfin, un soin particulier a été apporté aux vêtements sexy portés par Nao.
Le film propose même une chute bien venue et cohérente avec l’histoire.
RAS














