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Asai est heureuse en marchant dans la rue aux bras de son compagnon. Ils se séparent, elle a oublié de lui donner une lettre, elle le rattrape… et le surprend dans les bras d’une autre. Elle est grande, rousse, pulpeuse, les cheveux longs. Tout est plus que chez elle… Plus tard, elle partage son désarroi avec l’homme qu’elle aime, espérant éveiller un peu de compassion en lui… À la place, elle se retrouve soumise aux désirs sexuels du couple…
Les scènes basées sur des rapports de domination-soumission (bondage et obéissance) sont sensuelles et sexy. Le protagoniste masculin est charismatique, et très beau dans son costume sombre.
Aramura Akari est, quant à elle, la jolie rousse qui mate et éduque l’innocente Asai Kokoha et ses 1 mètres 51.
Frêle et menue, Asai est également très sexy avec sa coupe garçonne.
Les séquences sont longues et riches avec beaucoup de figures différentes. Elles ne sont pas forcément très originales (fessées, coups de fouet, contrainte des corps pour augmenter le désir, masturbation, échange de salive, dominants habillés/soumise nue…), mais elles sont toutes joliment réalisées. Par exemple, à un moment, Akari exige d’Asai de faire une fellation à son homme. Mais c’est Akari qui recueille la semence dans sa bouche sous le regard d’Asai.
Décors épurés mais suffisamment vastes pour mener les débats exigeants en espace.
