Dans DVRT-013, Yano est terrorisé par sa belle-soeur Miho.
Miho est bien jolie mais c’est une adepte de la violence.
Par exemple, impulsive et enragée, elle n’est pas avare de taloches et distribue allègrement les baffes, en particulier lorsqu’elle lorgne sur l’argent de poche de Yano.
La situation change du tout au tout lorsque le destin dépose une lampe magique entre les mains du jeune homme…
Certes, elle est en plastique. Sa couleur et sa forme évoquent plus un arrosoir que le merveilleux bibelot des fantastiques aventures d’Aladin…
Quoi qu’il en soit, le charme fonctionne et le génie sort de sa tanière pour faire don à Yano d’un spray magique.
Cet étrange objet permet au garçon de prendre le contrôle de ses proches et de les obliger à lui obéir au doigt et à l’œil.
D’abord, le garçon utilise le gadget enchanté sur son père pour s’assurer qu’il fonctionne. Puis, les choses sérieuses commencent lorsqu’il pointe l’objet en direction de Miho…
Miho Toii est divine.
Pulpeuse à souhait, elle est également hilarante, que ce soit en martyre de son beau-frère ou en souffre-douleur. Reléguée au rôle de soumise, l’indisciplinée ne tolère pas du tout cette nouvelle situation où elle doit, de surcroît, offrir son corps à un type qu’elle exècre… Son attitude boudeuse et grognon est mignonne à souhait.
DVRT-013 peut alors être drôle et subversif comme lorsque le Yano enfonce un godemichet dans la bouche de Miho pour la faire taire…
Malheureusement, au bout d’un certain temps, DVRT-013 tourne un peu en rond. Le manque d’imagination mis en oeuvre pour introduire les saynètes est en cause, même lorsque Miho parvient enfin à s’emparer de la lampe magique… Tristement, l’histoire n’utilise pas ce rebondissement pour partir dans un autre direction. Dommage.













